Cette inscription est fort ancienne... comme le témoigne cette facture de 1916 , où on voit la même inscription sur la gauche de l'ensemble industriel (dont, comme à l'ordinaire, on a exagéré les dimensions.)->ICI
Quelle encore bonne surprise que votre publication que je n'avais jamais vue ! Je connais bien le numéro 10 de la rue Charles Roy, enfin plutôt le 10bis, la maison blanche avec une véranda sur la deuxième photo qui était celle de ma grand-mère. Construite en 1954, elle l'a (et nous a) quitté en 1995. Effectivement je l'avais toujours entendu dire que en face de chez elle, cela avait été une usine. Tous les rez de chaussée de ce qui reste des bâtiments Salogne sont des garages box. Serait-ce la chapelle de l'ex hôpital qui est représentée au deuxième plan sur le papier à en-tête ?
Tout à fait. Cela ressemble à la chapelle Ste Marie qui n'est... pas du tout là. De même que le train... pas du tout du tout son passage. Enfin on sait bien que ce genre de représentation n'est à prendre que pour ce qu'il est : de la pub, avec en plus des proportions toujours plus que discutables.
Quelle encore bonne surprise que votre publication que je n'avais jamais vue ! Je connais bien le numéro 10 de la rue Charles Roy, enfin plutôt le 10bis, la maison blanche avec une véranda sur la deuxième photo qui était celle de ma grand-mère. Construite en 1954, elle l'a (et nous a) quitté en 1995. Effectivement je l'avais toujours entendu dire que en face de chez elle, cela avait été une usine. Tous les rez de chaussée de ce qui reste des bâtiments Salogne sont des garages box.
RépondreSupprimerSerait-ce la chapelle de l'ex hôpital qui est représentée au deuxième plan sur le papier à en-tête ?
ce qui se trouve en arrière plan semble être une pure élucubration...
SupprimerTout à fait. Cela ressemble à la chapelle Ste Marie qui n'est... pas du tout là. De même que le train... pas du tout du tout son passage. Enfin on sait bien que ce genre de représentation n'est à prendre que pour ce qu'il est : de la pub, avec en plus des proportions toujours plus que discutables.
Supprimer