Dans les années 60, c'est le siège du carrossier Monceau
En 1964 |
Mais la plus célèbre Bugatti passée par chez Monceau est ce modèle 57 Atalante de 1937 ayant appartenu à Jérome Médrano ( celui du cirque éponyme.)
Rachetée hors service à l'automne 1956 par Jean-Paul Monceau, alors étudiant ingénieur, elle reçoit un nouveau bloc moteur provenant d'un bugattiste suédois. Jean-Paul Monceau se charge de remonter le moteur dans la voiture et de la réfection de la peinture, " bleu Oceano Nox " de chez Astral avec flèche rouge. La voiture immatriculée 174 BR 58 le 30 janvier 1958 au nom de Jean-Paul Monceau est revendue à l'été 1961 à un amateur belge
J.P Monceau restaure aussi dans les années 70 un exemplaire de Bugatti Type 44 Coupé Profilé Gangloff datant de 1928.
la Bugatti type 44 lors du salon Rétromobile 2015 |
Elle a également une annexe située à l'intérieur même de la Société des Produits Chimiques de Clamecy qui , dans les années 40-50 reconditionne des wagons ferroviaires US de la première guerre mondiale, pour en faire des wagons tombereaux rehaussés pour la S.P.C.C (peints en marron). et la S.F.C.C. (peints... en vert.)
En remontant encore le temps, on découvre que l'entreprise familiale (qui remonte à ...1852) a débuté dans.... les bétaillères!
Yes !
RépondreSupprimerMERCI! interessant...
RépondreSupprimerMerci Géo pour ces informations . Ben dis donc, cela fait du bien de voir que dans nos cantons, des professionnels travaillaient sur des supers voitures ! Bon dimanche
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